Frisson sourd et blanc Soudain, au creux d’une épaisse forêt, mes pas que je croyais silencieux ont dérangé un chevreuil attentif. sur la trace étouffée de mes fractures Ô pâle solitude Yann Sallou Post date 7 février 2018 Posted in log Tagged with chevreuil, forêt, haïku, neige, solitude Previous post: elle faisait partie de mon destin Next post: Entre chiens et chats