(…)
« Du froid et des brouillards, de la grêle et des vents,
Par les chemins du ciel, nous avons tout à craindre.
Paix à nos morts… l’espoir reste au cœur des vivants,
Et nous ne perdons pas notre temps à nous plaindre. »III.
Tout s’agite à l’envers, se mêle et se confond
Chez l’homme… qui d’en bas laisse monter sa lie,
Comme un lac dont l’orage a remué le fond…
Sur le monde effaré souffle un vent de folie.
André Lemoyne, extrait de Vol d’oiseaux